On peut trouver les plaques de rues à n'importe quelle hauteur. Quelquefois, et même trop souvent, il faut lever exagérément le cou pour apercevoir la plaque. Il en est ainsi notamment lorsque la pose a lieu au dessus d'une corniche d'immeuble. Cependant rien n'empêche de répéter la plaque plus bas, voire de la poser plus bas. Il est même possible de la poser très très bas ! Preuve par l'image : la plaque du bas de l'avenue Paul Vaillant Couturier à Boulazac, en Dordogne.
Une curiosité, c'est aussi parce que peu de villes de France en possèdent, des plaques traduites en dialecte local. Vous trouverez ci dessous deux diaporamas illustrant ce bilinguisme :
Plaques de rues français/alsacien
Plaques de rues français/provençal (très bientôt)
A St Astier en Dordogne, il y a une école de gendarmerie, qui forme les apprentis gendarmes à leur futur métier et notamment à intervenir en milieu urbain. Pour cela, un quartier citadin entier a été reconstitué sur 40 hectares : usines, batiments, rues... il se nomme "Cigaville". Le décor étant très réaliste, les angles de rues sont munis de plaques, et ces plaques portent des noms. Lesquels ? Ils seront rajoutés dès que j'aurai pu en avoir connaissance.
Un reportage a été diffusé le 27 octobre 2002 dans l'émission de M6 "Zone interdite".